On l'a qualifié d'autoparodie délibérée, mais ce n'était pas le cas. J'étais alors soumis à une tension énorme ; ma
femme et moi nous étions séparés, j'étais retourné habiter chez ma mère et mon beau-père et j'avais un contrat pour
écrire deux livres à la fois, La Vérité avant-dernière et Dédalusman...En six semaines, j'ai tapé 1200 pages. Ce ne sont pas de bons livres, j'écrivais beaucoup trop vite et je n'avais pas de véritable public.
Je trouve les 150 premières pages de Dedalusman absolument illisibles. Je ne peux pas les lire. La deuxième partie est correcte, mais la première est tout bonnement épouvantable.